pour ceux qui veulent ou peuvent aider, une bonne poignée d'enfants roms scolarisés, (Lamaîza, Darius, Larissa, Dolari, Gabriella, Marcella, Marius, etc ... ils sont une bonne douzaine) mais plutôt démunis côté cartable et contenu du cartable, nous acceptons : crayons, feutres, cahiers, gommes, règles et autres accessoirs incontournables pour le rentrée
envoyez vos dons (matériel ou argent) aux Filles du Facteur, 2 place de la Fraternité à Montreuil, nous transmettrons
à ceux qui veulent ou peuvent financer la rentrée des enfants que nous parrainons déjà, au Burkina Faso, une bonne douzaine s'apprêtent à rentrer en classe au mois d'octobre
voici Diane qui a la chance d'avoir une gentille marraine, mais la plupart n'en ont pas, et c'est notre association qui subvient aux frais de scolarisation. contactez-nous.
Le parrainage c'est important, et puis ça crée des liens. Diane a commencé l'école à la rentrée dernière. Ses parents habitent loin de l'école, c'est Nabou, de l'association Les filles du Faso, qui s'occupe d'elle. Le parrainage est une chose, essentielle, parce que souvent il engage l'accès à l'éducation, et l'avenir de l'adulte (et c'est encore plus visible pour les petites filles, les premières sacrifiées ).
Alors même si on ne peut pas parrainer entièrement un enfant à l'année (cela dit, pour les petits de primaire, la somme est minime, au regard de ce que l'on jette par les fenêtres sans y penser, bien souvent), donner ce qu'on peut n'est pas neutre, et c'est vital pour bien des enfants.
Quant à moi, je commence juste le chemin avec Diane et je suis heureuse qu'elle aime l'école, et super fière quand on me dit qu'elle s'accroche malgré les difficultés.
Rédigé par : Az | 03 septembre 2012 à 18:48